Editions : Charleston
Date de parution : 12 janvier 2022
Pages : 222
Résumé :
Susie Pritt tente de se reconstruire. Quand elle est embauchée par la famille Wagner pour peindre une fresque murale pour leur fils disparu, elle ressent comme un malaise. Et pour cause : Niels n’a pas vraiment disparu, il s’est enfermé dans sa chambre et a décidé de vivre en dehors de la société, devenant un hikikomori, comme plus d’un million d’autres avant lui.
Alors qu’ils s’apprivoisent mutuellement, la rencontre entre ces deux êtres blessés par la vie se révèle déterminante.
Mon avis :
Le mois dernier est sorti aux éditions Charleston ce roman cours de 222 pages qui a su me toucher et m’émouvoir.
On fait la connaissance de Susie une jeune femme qui on l’apprendra aux fils des pages a vécu un drame qui nous a tous un petit peu touché du fait de l’actualité. Je n’ai pas envie de vous en dire plus car j’ai aimé le découvrir par moi-même et je pense que ça serait votre cas aussi.
Cette dernière va devoir travailler pour une famille qui a perdu son fils mais de manière particulière car il n’est autre qu’enfermer dans sa chambre et refuse d’en sortir c’est une sorte de maladie qui existent énormément au Japon. Cela a été une lecture assez instructif pour moi car je ne connaissais absolument pas ce mal.
Au fil de ma lecture j’ai découvert deux êtres blessés qui essayent de se reconstruire et qui grâce à leur rencontre vont pouvoir avancer et apercevoir un peu de clarté dans leurs passés sombres. C’était agréable à lire tout se fait avec douceur même si je regrette que la fin soit un peu brutal et rapide et que le début soit peut-être un petit peu trop long.
Quant aux personnages malgré le fait qu’ils ont chacun un passé ou un présent difficile je n’ai pas réussi à m’attacher à eux et c’est aussi une petite déception là-dessus.
En conclusion une lecture agréable et forte qui a su me toucher, mais qui n’a pas réussi à m’emballer pleinement du fait des petites déconvenues citées plus haut.
Ma note : 15/20
La lectrice dyslexique 
Je ne connaissais pas du tout ce roman mais il me rappelle un peu Tout peut s’oublier d’Olivier Adam qui aborde aussi un sujet d’actualité au Japon : le vide juridique concernant la garde des enfants après un divorce. J’ai l’impression que Juste à côté de moi est dans la même veine, dévoilant à nos yeux d’européens les nombreuses différences qu’il existe avec le Japon. Les hikikomoris m’ont toujours un peu fasciné, on voit pas mal de reportages et de vidéos sur leur mode de vie si différent du nôtre. Je vais de ce pas ajouter ce roman à ma wishlist, merci pour ce partage et cet article 🙂
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Coucou c’est avec plaisir 🙂 Merci à toi pour ton commentaire et je vais me pencher sur le roman « tout peut s’oublier » 🙂
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